Village Lieu-dits
Ne pleure pas si tu m’aimes ! Si tu savais le don de Dieu et ce que c’est que le ciel ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les champs et les horizons éternels, les nouveaux sentiers où je marche ! Si tu pouvais un instant, contempler comme moi la beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! Tu m’as vu, tu m’as aimé dans le pays des ombres, et tu ne pourrais ni me revoir ni m’aimer encore dans les pays des immuables réalités ! Crois-moi : lorsque la mort viendra briser tes liens comme elle à brisé ceux qui m’enchaînaient, et quand, au jour que Dieu connaît et qu’il a fixé, ton âme viendra dans le ciel où l’a précédée la mienne, ce jour là, tu reverras celui qui t’aimait et qui t’aime encore, tu retrouveras son coeur, tu en retrouveras les tendresses épurées. Essuie tes larmes et ne pleures
Ne pleure pas si tu m’aimes ! Si tu savais le don de Dieu et ce que c’est que le ciel ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les champs et les horizons éternels, les nouveaux sentiers où je marche ! Si tu pouvais un instant, contempler comme moi la beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! Tu m’as vu, tu m’as aimé dans le pays des ombres, et tu ne pourrais ni me revoir ni m’aimer encore dans les pays des immuables réalités ! Crois-moi : lorsque la mort viendra briser tes liens comme elle à brisé ceux qui m’enchaînaient, et quand, au jour que Dieu connaît et qu’il a fixé, ton âme viendra dans le ciel où l’a précédée la mienne, ce jour là, tu reverras celui qui t’aimait et qui t’aime encore, tu retrouveras son coeur, tu en retrouveras les tendresses épurées. Essuie tes larmes et ne pleures
Ne pleure pas si tu m’aimes ! Si tu savais le don de Dieu et ce que c’est que le ciel ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les champs et les horizons éternels, les nouveaux sentiers où je marche ! Si tu pouvais un instant, contempler comme moi la beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! Tu m’as vu, tu m’as aimé dans le pays des ombres, et tu ne pourrais ni me revoir ni m’aimer encore dans les pays des immuables réalités ! Crois-moi : lorsque la mort viendra briser tes liens comme elle à brisé ceux qui m’enchaînaient, et quand, au jour que Dieu connaît et qu’il a fixé, ton âme viendra dans le ciel où l’a précédée la mienne, ce jour là, tu reverras celui qui t’aimait et qui t’aime encore, tu retrouveras son coeur, tu en retrouveras les tendresses épurées. Essuie tes larmes et ne pleures
Ne pleure pas si tu m’aimes ! Si tu savais le don de Dieu et ce que c’est que le ciel ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les champs et les horizons éternels, les nouveaux sentiers où je marche ! Si tu pouvais un instant, contempler comme moi la beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! Tu m’as vu, tu m’as aimé dans le pays des ombres, et tu ne pourrais ni me revoir ni m’aimer encore dans les pays des immuables réalités ! Crois-moi : lorsque la mort viendra briser tes liens comme elle à brisé ceux qui m’enchaînaient, et quand, au jour que Dieu connaît et qu’il a fixé, ton âme viendra dans le ciel où l’a précédée la mienne, ce jour là, tu reverras celui qui t’aimait et qui t’aime encore, tu retrouveras son coeur, tu en retrouveras les tendresses épurées. Essuie tes larmes et ne pleures
Ne pleure pas si tu m’aimes ! Si tu savais le don de Dieu et ce que c’est que le ciel ! Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les champs et les horizons éternels, les nouveaux sentiers où je marche ! Si tu pouvais un instant, contempler comme moi la beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent ! Tu m’as vu, tu m’as aimé dans le pays des ombres, et tu ne pourrais ni me revoir ni m’aimer encore dans les pays des immuables réalités ! Crois-moi : lorsque la mort viendra briser tes liens comme elle à brisé ceux qui m’enchaînaient, et quand, au jour que Dieu connaît et qu’il a fixé, ton âme viendra dans le ciel où l’a précédée la mienne, ce jour là, tu reverras celui qui t’aimait et qui t’aime encore, tu retrouveras son coeur, tu en retrouveras les tendresses épurées. Essuie tes larmes et ne pleures